La réalité est une question lancinante qui traverse l’oeuvre de Philip K. Dick, l’un des grands maîtres de la science-fiction du XXe siècle.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été fasciné par la notion de réalité et par les multiples dimensions qui la composent. Dans mes œuvres, telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les limites de la perception humaine et les illusions qui peuvent nous entourer. La réalité, ou plutôt les réalités, sont pour moi un sujet inépuisable qui soulève de nombreuses questions.
Qu’est-ce qui est réel ? C’est une interrogation qui m’a hanté tout au long de ma carrière. Dans mes romans, j’ai souvent mis en scène des mondes parallèles, des simulacres ou des phénomènes énigmatiques qui remettent en question notre perception de la réalité. J’ai cherché à déconstruire les certitudes et à explorer les fissures de notre compréhension du monde qui nous entoure.
Mais au-delà de la réalité elle-même, je me suis également intéressé à ce qui constitue l’essence de l’humain. L’identité, le double, le temps, la psychose, la mort, le divin… Tous ces thèmes ont été abordés dans mes écrits pour tenter de comprendre ce qui nous définit en tant qu’êtres humains. J’ai exploré les méandres de la conscience et les limites de notre compréhension de nous-mêmes.
Pour moi, l’humain est bien plus qu’un simple corps physique. C’est une entité complexe, façonnée par ses expériences, ses émotions et ses interactions avec le monde qui l’entoure. Les compétences acquises par l’expérience, parfois appelées compétences non formelles, font partie intégrante de cette essence humaine. Elles sont le fruit de nos interactions avec notre environnement et de notre capacité à nous adapter aux situations qui se présentent à nous.
Il est donc essentiel de reconnaître et de valoriser ces compétences non formelles. L’année européenne des compétences est une initiative louable qui vise à mettre en avant l’importance de ces compétences acquises par l’expérience. En reconnaissant leur valeur, nous pouvons améliorer l’employabilité des salariés, en particulier ceux qui sont moins qualifiés.
Cependant, il est important de souligner que les moyens de reconnaître ces compétences diffèrent en Europe. Il est nécessaire de trouver des solutions harmonisées qui permettent à tous les individus de faire valoir leurs compétences, qu’elles aient été acquises par l’expérience ou par le biais de formations plus traditionnelles.
En conclusion, la réalité et l’essence de l’humain sont des sujets complexes et fascinants. Philip K. Dick, à travers ses écrits, a cherché à explorer les multiples dimensions de la réalité et à comprendre ce qui constitue l’essence de l’humain. Reconnaître et valoriser les compétences acquises par l’expérience est un pas important vers une meilleure compréhension de notre humanité et une amélioration de l’employabilité des salariés.