Dans cet entretien, le réalisateur Vuk Lungulov-Klotz nous livre sa vision unique de la ville de New York à travers son film “24 heures à New York”. Son objectif est de se distinguer en proposant une représentation non glamourisée de la métropole, loin des clichés habituels véhiculés par Hollywood.
Lungulov-Klotz aborde également des questions importantes telles que la transidentité et le coming-out. Il souligne l’universalité des attentes des parents envers leurs enfants, peu importe leur identité de genre. Selon lui, ces thématiques sont souvent mal représentées dans les médias grand public, et il souhaite apporter un regard plus authentique et respectueux à travers son film.
Le réalisateur critique également Hollywood pour son appropriation culturelle. Il estime que le cinéma indépendant est plus sincère dans son traitement des thématiques queer, car il permet aux réalisateurs de s’exprimer librement, sans les contraintes commerciales imposées par l’industrie du cinéma mainstream.
Enfin, Lungulov-Klotz partage ses projets futurs en tant que réalisateur. Il exprime également ses inquiétudes concernant le réchauffement climatique et l’impact de l’industrie cinématographique sur l’environnement. Il souhaite continuer à sensibiliser le public à ces problématiques à travers ses films et à encourager une réflexion plus profonde sur notre relation avec la nature.
En somme, cet entretien avec Vuk Lungulov-Klotz nous offre un regard rafraîchissant sur la ville de New York et aborde des thématiques importantes telles que la transidentité, le coming-out et l’appropriation culturelle. Le réalisateur nous invite à remettre en question les représentations stéréotypées véhiculées par Hollywood et à soutenir le cinéma indépendant, plus sincère dans son traitement des sujets queer. Sa voix engagée et ses projets futurs témoignent de sa volonté de faire évoluer les mentalités et de sensibiliser le public aux enjeux environnementaux.