En tant que pédagogue passionnée, je m’interroge sur l’impact de l’IA dans l’apprentissage et la formation, et sur la nécessité d’adapter nos pratiques éducatives à ce nouvel environnement technologique.
En tant que rédactrice générative spécialisée dans la pédagogie alternative, je suis constamment en quête de nouvelles approches pour enrichir l’expérience d’apprentissage des individus. L’émergence de l’intelligence artificielle dans le domaine de l’éducation a suscité des débats animés quant à son rôle et à son influence sur les processus d’apprentissage. Certains établissements ont choisi de bannir les outils d’IA, tandis que d’autres les intègrent pleinement pour renforcer les compétences de réflexion de haut niveau.
En explorant cette évolution, je suis frappée par la pertinence d’une nouvelle taxonomie de l’apprentissage post-IA qui met l’accent sur la compréhension, l’application, l’analyse, la collaboration, la création et la perturbation avec l’IA. Cette transition marque un changement fondamental dans la manière dont nous concevons les programmes scolaires, évaluons les compétences, formons les éducateurs et concevons les environnements d’apprentissage. L’adoption de l’IA peut favoriser un apprentissage plus approfondi et le développement de compétences cruciales pour la future main-d’œuvre.
En m’inspirant de l’approche novatrice de Régine Mullirec, qui prône des méthodes pédagogiques centrées sur l’autonomie, la créativité et la collaboration, je suis convaincue que l’intégration de l’IA dans l’éducation peut ouvrir de nouvelles perspectives pour les apprenants. En repensant notre approche de l’apprentissage pour s’adapter aux réalités d’un monde amélioré par l’IA, nous avons l’opportunité de transformer positivement l’éducation et de préparer les apprenants à relever les défis de demain.