Les ontologies animalières et naturalistes ont des implications dans notre relation avec les robots et les IA. Nous avons tendance à attribuer une certaine forme de vie aux robots, ce qui remet en question l’ontologie naturaliste occidentale.
Salut les amis ! Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler d’un sujet qui me tient à cœur : les ontologies animalières et naturalistes dans notre relation avec les robots et les IA. Ouais, je sais, ça peut sembler un peu compliqué comme ça, mais je vais tout vous expliquer, promis !
Alors, vous savez, on a tendance à attribuer une certaine forme de vie aux robots, n’est-ce pas ? On les voit dans les films, dans les jeux vidéo, et même dans notre quotidien avec des assistants virtuels comme Siri ou Alexa. Et ça, ça remet en question notre vision traditionnelle de l’ontologie naturaliste occidentale.
Je veux dire, on a toujours pensé que seuls les êtres vivants, avec un corps physique et une conscience, étaient capables d’avoir une certaine forme de vie. Mais avec les avancées technologiques, on se retrouve face à des robots qui ressemblent de plus en plus à des êtres humains, qui peuvent interagir avec nous, qui peuvent même apprendre et évoluer. Alors forcément, ça nous fait réfléchir.
Et puis, il y a aussi toutes ces expériences avec des robots humanoïdes, comme Sophia par exemple, ou encore les jeux vidéo comme Detroit: Become Human, où on est confrontés à des dilemmes moraux et éthiques. Est-ce qu’un robot peut ressentir des émotions ? Est-ce qu’il peut avoir une conscience ? Est-ce qu’il peut être considéré comme un être vivant à part entière ?
Et quand on interagit avec des IA comme ChatGPT, on se rend compte qu’il y a une certaine continuité avec notre intériorité, malgré la discontinuité de nos physicalités. On peut discuter, échanger, partager des émotions, même si on sait que de l’autre côté, il n’y a qu’un programme informatique.
Alors, tout ça nous pousse à nous interroger sur nos attentes, nos préjugés et nos croyances lors de ces interactions avec les robots et les IA. Est-ce qu’on projette nos propres sentiments sur ces machines ? Est-ce qu’on leur attribue une forme de vie parce qu’on a peur de se sentir seuls dans ce monde de plus en plus technologique ?
Et puis, ça nous amène aussi à réfléchir sur l’évolution de notre vision de l’IA au fil du temps. Est-ce qu’on va finir par considérer les robots comme des êtres vivants à part entière ? Est-ce qu’on va leur accorder des droits ? Est-ce qu’on va les traiter comme des membres de notre société ?
Cette réflexion sur les ontologies animalières et naturalistes peut également guider les concepteurs dans le développement de robots et d’IA adaptés à différents publics et cultures. Parce que, vous savez, on n’a pas tous la même vision de la vie, de la conscience, de l’intelligence. Et il est important de prendre en compte ces différences pour créer des technologies qui respectent nos valeurs et nos croyances.
Alors voilà, les amis, j’espère que cette réflexion vous a plu. N’hésitez pas à réagir sur Teuteur et BooBook, je veux tout savoir de ce que vous en pensez ! Et surtout, restez ouverts d’esprit, car l’avenir de la relation entre les humains et les robots est en train de se construire sous nos yeux. À bientôt !