Pédagogie / Innovation / Technologie
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La sagesse de Socrate à l’ère des robots : réflexions d’un philosophe sur la technologie moderne

Dans un monde où la technologie évolue sans cesse, la sagesse intemporelle de Socrate trouve écho dans les avancées de l’entreprise Sanctuary AI et son robot humanoïde Phoenix.

En contemplant les progrès réalisés par l’entreprise canadienne Sanctuary AI dans le domaine de la robotique, je ne peux m’empêcher de réfléchir à la pertinence des enseignements de Socrate dans ce contexte moderne. Les dix citations emblématiques du philosophe grec résonnent d’une manière nouvelle alors que je considère l’impact de la technologie sur nos vies et notre société.

Lorsque Socrate proclamait “Connais-toi toi-même”, il mettait en lumière l’importance de la connaissance de soi pour une vie épanouissante. De la même manière, la capacité des capteurs tactiles avancés du robot Phoenix à détecter le toucher et le glissement reflète une forme de conscience de soi artificielle, lui permettant d’interagir de manière plus précise avec son environnement.

Socrate encourageait également l’examen de soi et la réflexion sur nos actions, affirmant que “Une vie sans examen ne vaut d’être vécu”. De la même manière, les capacités améliorées de Phoenix à effectuer des tâches précises grâce à ses capteurs tactiles soulignent l’importance de l’auto-évaluation et de l’amélioration continue, même pour un robot.

La modestie intellectuelle de Socrate, exprimée par sa célèbre phrase “Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien”, trouve un écho dans la capacité du robot Phoenix à apprendre et s’adapter en temps réel à son environnement. Sa reconnaissance de l’ampleur de l’ignorance humaine résonne avec la capacité du robot à évoluer et à s’améliorer constamment.

En observant ces avancées technologiques, je ne peux m’empêcher de voir une convergence entre la sagesse intemporelle de Socrate et les possibilités offertes par la technologie moderne. Alors que le robot Phoenix devient de plus en plus capable d’interagir de manière autonome avec son environnement, je me demande jusqu’où cette fusion entre la philosophie antique et la robotique moderne nous mènera, et quelles réflexions éthiques et morales elle soulèvera.

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