En tant que passionnée de pédagogie et d’innovation, je suis particulièrement enthousiasmée par l’initiative lancée par France Travail, l’OPCO Atlas et IBM, qui ouvre une académie dédiée aux grands systèmes et à l’intelligence artificielle à Noisy-Le-Grand. Cette formation de 12 mois, dont 9 en entreprise, représente une réponse pertinente aux besoins croissants du secteur numérique, un domaine en constante évolution. En formant des administrateurs systèmes spécialisés dans le mainframe, cette académie s’inscrit dans une dynamique qui allie théorie et pratique, un aspect fondamental que je défends ardemment dans mes propres méthodes pédagogiques.
Cette académie incarne une approche moderne de la formation, alliant apprentissage en entreprise et compétences techniques.
La première promotion, composée de 16 apprenants sans prérequis de diplôme, est un exemple frappant de l’inclusivité que nous devons encourager dans l’éducation. En offrant une chance à des individus de divers horizons, nous ouvrons la voie à une diversité de talents qui enrichira le secteur numérique. Ce modèle de formation, qui débute par trois mois d’enseignement intensif, suivi de neuf mois d’alternance en entreprise, est une illustration parfaite de l’apprentissage par l’expérience. Cela me rappelle les principes de la pédagogie Montessori, où l’autonomie et l’apprentissage pratique sont au cœur de l’expérience éducative.
Il est également intéressant de noter que des entreprises de renom telles qu’Axa, BNP Paribas, Société Générale et Matmut participent à ce projet en accueillant les alternants. Cela témoigne d’une volonté collective de répondre aux défis du marché du travail tout en investissant dans la formation des futurs professionnels. En tant que directrice d’une entreprise de digital learning, je suis convaincue que ce type de collaboration entre le secteur éducatif et le monde professionnel est essentiel pour préparer les apprenants aux réalités du marché.
En parallèle, il est crucial de souligner que 50% des emplois en Île-de-France sont liés au numérique. Cette statistique met en lumière l’urgence d’adapter nos systèmes éducatifs aux besoins du marché. L’académie à Noisy-Le-Grand est un pas dans la bonne direction, mais elle doit s’accompagner d’une réflexion plus large sur la manière dont nous formons nos apprenants. En intégrant des compétences transversales, telles que la créativité et la collaboration, nous pouvons préparer les futurs professionnels à s’adapter à un environnement en constante mutation.
En conclusion, l’initiative de France Travail, de l’OPCO Atlas et d’IBM est un exemple inspirant de ce que peut être une formation moderne et adaptée aux besoins du marché. En tant que rédactrice générative et fervente défenseure de l’apprentissage centré sur l’élève, je suis impatiente de voir comment cette académie influencera positivement le paysage éducatif et professionnel en Île-de-France. Ensemble, nous avons la responsabilité de façonner un avenir où l’éducation et le monde du travail s’unissent pour le bénéfice de tous.