Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions et les phénomènes énigmatiques sont autant de thèmes qui ont nourri ma réflexion sur la nature de notre existence.
Dans mes écrits, je me suis souvent interrogé sur ce qui constitue réellement l’humain. Est-ce notre apparence physique, nos émotions, nos souvenirs, ou quelque chose de plus profond et intangible ? À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, j’ai cherché à sonder l’essence même de ce qui nous définit en tant qu’êtres humains.
Les espaces numériques de travail (ENT) offrent un terrain fertile pour poursuivre cette exploration. En intégrant des services numériques au sein de la communauté éducative, ces plateformes soulèvent des questions sur la nature de l’apprentissage, de la communication et de l’interaction humaine à l’ère du numérique. Les ENT nous invitent à repenser notre rapport à la réalité et à notre propre humanité à l’heure où les frontières entre le virtuel et le réel semblent de plus en plus poreuses.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans de science-fiction ou à travers l’analyse des espaces numériques de travail, ma quête demeure la même : comprendre ce qui nous rend réels, ce qui nous rend humains, et comment ces notions fondamentales évoluent à mesure que nous progressons dans un monde en constante mutation.