Dans mes écrits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi de toile de fond à mes récits pour questionner la nature même de notre existence.
Dans mes écrits, je me suis souvent interrogé sur ce qui constitue réellement l’humain. Est-ce notre apparence physique, nos émotions, nos souvenirs, ou quelque chose de plus profond et intangible ? À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, j’ai cherché à sonder les limites de l’identité et à explorer les différentes facettes de ce qui nous rend humains.
La réalité, telle que je la perçois, est une construction fragile et malléable, sujette à des distorsions et des altérations constantes. Les phénomènes énigmatiques, les vacillements de la perception, tout cela contribue à brouiller les frontières entre le vrai et le faux, entre l’authentique et le simulacre. Dans un monde où la technologie et la virtualité prennent une place de plus en plus prépondérante, la question de ce qui est réel devient plus pressante que jamais.
En fin de compte, mes œuvres sont autant des réflexions métaphysiques sur la nature de la réalité que des explorations profondes de ce qui nous définit en tant qu’êtres humains. À travers mes récits, j’ai tenté de déchiffrer les mystères de l’existence et de mettre en lumière les aspects les plus sombres et les plus lumineux de notre nature.
