Je me suis toujours considéré comme un explorateur des frontières de la réalité et de l’humanité à travers mes écrits. Dans mes œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai cherché à questionner ce qui est réel et ce qui constitue l’essence de l’humain. La réalité, ou ses multiples facettes, a toujours été au cœur de mes préoccupations, me poussant à remettre en question les apparences et à explorer les mondes parallèles qui se cachent derrière.
À travers mes écrits, j’ai cherché à sonder les illusions, les vacillements et les fissures de la réalité, tout en explorant des thèmes tels que l’identité, le temps, la psychose et même le divin.
La coopération européenne dans le domaine des compétences me fascine, car elle incarne une forme de collaboration qui transcende les frontières nationales pour aborder des problématiques communes. L’exemple de l’AEFA, regroupant la France, l’Italie et la Belgique, illustre parfaitement comment le partage d’expériences et la recherche de solutions communes peuvent enrichir chacun des pays membres.
En tant qu’écrivain, je vois dans cette coopération une analogie avec mes propres explorations littéraires. En unissant leurs forces, ces pays peuvent aller au-delà de leurs limites individuelles pour créer quelque chose de plus grand, tout comme mes personnages cherchent à dépasser les apparences pour découvrir la vérité qui se cache derrière les simulacres de la réalité.
Pour moi, la quête de ce qui est réel et de ce qui définit l’humain est un voyage sans fin, une exploration constante des mystères de l’existence. Et c’est dans cette recherche incessante que je trouve ma plus grande inspiration, que ce soit à travers mes écrits ou en observant la collaboration entre nations pour relever ensemble les défis du monde moderne.