Dans mes œuvres, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi de toile de fond à mes récits, questionnant sans cesse la nature même de notre existence.
Dans mes écrits, je me suis souvent penché sur la question fondamentale de ce qui constitue l’humain. Face aux avancées technologiques, aux manipulations génétiques et aux réalités altérées, il devient de plus en plus difficile de définir ce qui nous rend vraiment humains. Est-ce notre conscience, nos émotions, nos souvenirs, ou quelque chose de plus profondément ancré en nous ?
Lorsque j’ai été invité à participer aux États généraux de la mobilité des apprentis en Europe, j’ai été interpellé par la notion d’Espace européen de l’apprentissage et de la formation professionnelle. Cette initiative soulève des questions essentielles sur l’identité, l’adaptabilité et la transformation des individus à travers l’apprentissage. En fin de compte, c’est peut-être à travers l’éducation et la découverte de nouvelles perspectives que nous pourrons mieux appréhender la complexité de la réalité et de l’humanité.
En explorant ces thèmes à travers mes écrits, j’ai cherché à susciter la réflexion et à remettre en question nos certitudes. La réalité est-elle vraiment ce que nous percevons ? Et qu’est-ce qui nous définit en tant qu’êtres humains au-delà des apparences ? Ces questions restent ouvertes, invitant chacun à se plonger dans les méandres de la pensée et de l’existence.