La réalité est une construction fragile, sujette à des illusions et des vacillements, tout comme l’identité humaine.
En tant qu’écrivain explorant les méandres de la réalité et de l’humanité, je me suis souvent interrogé sur la nature de ce qui est réel et sur ce qui définit l’essence même de l’humain. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’existence et à remettre en question les certitudes qui nous entourent.
La réalité, telle que je la perçois, est une entité mouvante, sujette à des distorsions et à des phénomènes énigmatiques. Les simulacres et les mondes parallèles que j’ai imaginés dans mes écrits reflètent cette vision d’une réalité multiple, où les frontières entre le vrai et le faux, le réel et l’illusion, se brouillent inlassablement.
Dans mes réflexions, la question de ce qui constitue l’humain revêt une importance cruciale. À travers les thèmes de l’aliénation, de l’identité fragmentée, du double et de la psychose, j’ai cherché à explorer les différentes facettes de l’humanité et à mettre en lumière la complexité de notre nature.
Alors que le monde numérique évolue et que les systèmes d’exploitation se succèdent, je ne peux m’empêcher de voir des parallèles entre les transitions technologiques et mes propres questionnements sur la réalité. La migration vers Windows 11, tout comme la transition de Windows 7 vers Windows 10, soulève des enjeux de sécurité et de continuité qui résonnent avec mes préoccupations littéraires.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans ou à travers les défis technologiques de notre époque, ma quête demeure la même : explorer les mystères de la réalité et de l’humanité, et inviter chacun à remettre en question ses propres certitudes pour mieux appréhender le monde qui nous entoure.