Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers mes œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tout cela m’a permis de remettre en question la nature même de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible ou simplement une construction de notre esprit ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes moraux, des identités multiples ou des altérations de la perception, j’ai cherché à explorer les différentes facettes de l’humanité. Qu’est-ce qui nous définit en tant qu’êtres humains ? Est-ce notre conscience, nos émotions, nos souvenirs, ou quelque chose de plus profondément ancré en nous ?
Mes récits sont autant de miroirs déformants qui nous renvoient à nos propres questionnements sur la réalité et sur ce qui nous rend humains.
Dans un monde en constante évolution, où l’intelligence artificielle prend une place de plus en plus prépondérante, il est crucial de se demander quelles compétences humaines demeurent essentielles. La capacité à penser de manière créative, à remettre en question les normes établies, à interpréter les émotions et les motivations humaines, toutes ces compétences restent irremplaçables. Le prompt engineering, cette capacité à réagir rapidement et de manière agile aux changements, devient une compétence clé pour s’adapter à un environnement en perpétuelle mutation.
En fin de compte, à travers mes écrits, je cherche à pousser le lecteur à remettre en question sa propre réalité, à explorer les méandres de son humanité et à se confronter à ses propres limites. La grande et lancinante question de ce qui est réel et de ce qui constitue l’humain reste au cœur de mes réflexions, invitant chacun à plonger dans les abysses de la conscience et de l’existence.