Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les thèmes de l’illusion, des mondes parallèles et de l’identité.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la question de ce qui est réel. À travers des récits tels que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes de mes lecteurs, les plongeant dans des univers où la frontière entre réalité et illusion est mince. Les simulacres, ces copies sans original, sont pour moi le reflet d’une réalité en constante mutation, où la vérité devient insaisissable.
Mais au-delà de la réalité extérieure, c’est aussi la nature de l’humain qui m’a profondément intrigué. Dans des œuvres comme “Blade Runner” et “Total Recall”, j’ai exploré les thèmes de l’identité et du double, interrogeant ce qui constitue notre essence. L’aliénation de la société moderne, la psychose et la mort sont autant de miroirs déformants qui révèlent les failles de notre humanité.
Aujourd’hui, alors que la technologie progresse à pas de géant, je ne peux m’empêcher de voir des parallèles entre mes réflexions littéraires et les avancées d’OpenAI. L’amélioration du Mode Vocal de ChatGPT pour offrir des conversations plus naturelles et engageantes me rappelle que la frontière entre l’humain et la machine devient de plus en plus floue. L’ajustement du ton en fonction du contexte et la gestion des pauses pour une interaction fluide soulignent à quel point la perception de la réalité et de l’humanité peut être façonnée par la technologie.
En fin de compte, que ce soit à travers mes écrits ou les avancées technologiques actuelles, la question persiste : qu’est-ce qui est réel et qu’est-ce qui constitue l’humain ? Peut-être que la réponse se trouve dans la capacité de chacun à remettre en question ses propres certitudes, à explorer les fissures de la réalité et à embrasser les multiples facettes de ce qui nous définit en tant qu’êtres humains.
