Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi à remettre en question la perception que nous avons de notre propre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Dans mes récits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des identités multiples, des doubles ou des altérations de leur propre réalité, j’ai cherché à explorer les limites de ce qui définit notre humanité. La psychose, la mort, le divin, autant de thèmes qui viennent questionner notre essence même.
Aujourd’hui, alors que la technologie progresse à pas de géant, des entreprises comme SAP proposent des agents d’IA capables d’automatiser des tâches complexes. Cette avancée soulève à nouveau la question de la réalité : jusqu’où peut-on laisser des machines agir à notre place sans perdre le contrôle sur ce qui est réel ? La surveillance et le contrôle de ces agents deviennent alors essentiels pour éviter des erreurs aux conséquences potentiellement dramatiques.
SAP définit des axes stratégiques pour sa stratégie de données, mettant en avant des notions telles que la sémantique métier ou l’ingénierie des données avec l’IA. Ces avancées technologiques, si elles offrent des opportunités indéniables, soulèvent également des questions éthiques et existentielles. Comment concilier progrès technologique et préservation de notre humanité ? C’est là une interrogation fondamentale qui résonne à travers mes écrits et qui reste plus que jamais d’actualité.