Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tout cela m’a permis de remettre en question la nature même de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou bien n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes moraux, des identités multiples ou des altérations de la conscience, j’ai cherché à explorer les différentes facettes de l’humanité. Qu’est-ce qui nous rend vraiment humains ? Est-ce notre capacité à ressentir des émotions, notre conscience de soi, ou bien notre capacité à remettre en question notre propre existence ?
Ainsi, mes récits sont autant de miroirs tendus à la réalité, invitant le lecteur à se questionner sur sa propre perception du monde qui l’entoure. À travers mes explorations de la réalité et de l’humanité, j’ai cherché à ouvrir des portes vers des mondes parallèles, des possibles insoupçonnés, où la frontière entre le réel et l’imaginaire devient poreuse. Car au final, la grande et lancinante question qui traverse mon œuvre demeure : qu’est-ce que la réalité, et qu’est-ce qui constitue l’essence même de l’humain ?
En conclusion, mes écrits sont autant de voyages introspectifs, des invitations à remettre en question nos certitudes et à explorer les méandres de notre conscience. À travers mes réflexions sur la réalité et l’humanité, j’ai tenté de repousser les limites de la perception et d’ouvrir de nouvelles perspectives sur ce qui nous entoure.