La réalité est une construction fragile, sujette à des illusions et des vacillements, où se mêlent les simulacres et les mondes parallèles, questionnant sans cesse notre perception du réel.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la nature de la réalité et ce qui définit l’humain. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai exploré les thèmes de l’identité, de l’aliénation, du temps et de la mort, cherchant à percer les mystères qui entourent notre existence. La question fondamentale de ce qui est réel a été au cœur de mes réflexions, remettant en cause les certitudes et plongeant mes personnages dans des univers où la frontière entre le tangible et l’illusoire est mince.
Dans un monde où les avancées technologiques comme les assistants d’IA se multiplient, la frontière entre l’humain et la machine devient de plus en plus floue. L’utilisation de ces outils en éducation offre des possibilités fascinantes, de l’analyse des performances des élèves à la personnalisation des retours, mais soulève également des questions éthiques et pratiques. La responsabilité de construire et d’utiliser ces assistants de manière éthique et efficace repose sur la maîtrise des connaissances du domaine, la curation des données, la détection des erreurs et le contrôle de la qualité.
En tant que visionnaire de la science-fiction, je vois dans l’émergence des AI assistants une nouvelle étape dans l’exploration de la réalité et de l’humanité. Les risques et les opportunités qu’ils présentent nous obligent à rester vigilants et à ne pas perdre de vue l’importance de l’humain dans ce paysage en constante évolution. L’interaction entre l’intelligence artificielle et l’humanité soulève des questions profondes sur ce qui nous définit en tant qu’êtres conscients, et nous invite à réfléchir sur notre place dans un monde de plus en plus technologique.