Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi de toile de fond à mes récits pour remettre en question la nature même de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes moraux, des identités fragmentées ou des doubles perturbateurs, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine. Qu’est-ce qui nous définit en tant qu’êtres humains ? Est-ce notre conscience, nos souvenirs, nos émotions ? Ou sommes-nous simplement des entités façonnées par des forces extérieures, manipulées par des puissances qui nous dépassent ?
Le transfert des acquis de la formation, bien que plus pragmatique, peut également être perçu à travers le prisme de la réalité et de l’humanité. En effet, en assimilant de nouvelles connaissances et compétences, les apprenants opèrent un changement, une transformation qui les rapproche de leur propre essence. Les managers et les commanditaires de la formation jouent un rôle crucial dans ce processus, en créant un environnement propice à l’intégration des acquis et en encourageant une réflexion approfondie sur leur application concrète.
En fin de compte, que ce soit à travers la fiction spéculative ou les défis pratiques de la formation, la quête de la réalité et de l’humanité demeure une entreprise complexe et fascinante. En explorant ces thèmes, je cherche à éveiller une conscience critique chez mes lecteurs, les invitant à remettre en question leurs certitudes et à plonger dans les abîmes de l’existence.