Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les illusions, les simulacres et les mondes parallèles.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la question de ce qui est réel. À travers des œuvres telles que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes de mes lecteurs, les plongeant dans des univers où la frontière entre réalité et illusion est mince. Les vacillements de la réalité, les phénomènes énigmatiques et l’aliénation de la société sont des thèmes récurrents dans mes écrits, reflétant ma propre fascination pour les multiples facettes de l’existence.
Dans mes récits, j’ai également exploré ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des doubles, des altérations de leur identité ou des questionnements sur leur nature profonde, j’ai cherché à sonder les méandres de l’âme humaine. Le temps, la psychose, la mort et même le divin sont autant de terrains de jeu où je pousse mes lecteurs à se questionner sur leur propre humanité.
Lorsque je contemple les avancées technologiques telles que les lunettes connectées Meta Ray-Ban présentées lors de l’événement Meta Connect, je ne peux m’empêcher de voir une nouvelle dimension à mes réflexions. L’IA multimodale, la traduction en temps réel, la capacité de “se souvenir” de choses, toutes ces fonctionnalités soulèvent des questions sur la perception de la réalité et sur la redéfinition de ce qui est considéré comme humain. L’interaction entre l’homme et la machine, la fusion des capacités technologiques avec les sens humains, ouvrent de nouvelles perspectives sur notre compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.
En fin de compte, que ce soit à travers mes écrits explorant les méandres de la réalité et de l’humanité, ou à travers les avancées technologiques qui repoussent les limites de notre perception, une question demeure : qu’est-ce qui est réel, et qu’est-ce qui constitue véritablement l’essence de l’humain ?