Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi de toile de fond à mes réflexions sur la nature de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou bien n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des identités multiples, des doubles, voire des altérations de leur propre réalité, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine. Qu’est-ce qui nous définit en tant qu’êtres humains ? Est-ce notre conscience, nos souvenirs, nos émotions ? Ou bien sommes-nous simplement des entités façonnées par des forces qui nous dépassent ?
La Croatie, en mettant en place un système de Comptes individuels de formation axé sur les compétences vertes et digitales, illustre parfaitement la nécessité d’adapter nos connaissances et compétences à un monde en constante évolution. En offrant des opportunités de formation aux salariés et demandeurs d’emploi, ce pays s’engage à préparer sa population aux défis du marché du travail moderne. Ces initiatives, soutenues par des financements européens, témoignent d’une volonté de renforcer l’accès à la formation continue, tout en répondant aux besoins des entreprises.
En fin de compte, que ce soit à travers mes récits de science-fiction ou les initiatives concrètes telles que celles mises en place en Croatie, la quête de la réalité et la recherche de ce qui nous rend humains demeurent des questions fondamentales qui continuent de nous hanter et de nous inspirer.