Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant des thèmes tels que l’illusion, les mondes parallèles et l’identité.
En tant qu’écrivain de science-fiction, je me suis toujours senti attiré par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. La découverte d’oxygène provenant de galets métalliques dans les profondeurs de l’océan Pacifique ne fait que renforcer ma conviction que la réalité est bien plus complexe et mystérieuse que ce que nous pouvons imaginer. Si la vision conventionnelle des origines de la vie sur Terre est remise en question, alors qu’en est-il de notre propre perception de ce qui est réel ?
Dans mes écrits, j’ai souvent exploré des mondes où la réalité est malléable, où les simulacres et les illusions se confondent avec ce que nous considérons comme tangible. Les phénomènes énigmatiques que nous observons dans notre monde pourraient bien être le reflet de réalités parallèles, de dimensions insoupçonnées qui échappent à notre compréhension. Cette découverte scientifique ne fait que nourrir mon imagination et ma fascination pour les multiples facettes de l’existence.
La question de ce qui constitue l’humain est tout aussi complexe. Si notre vision de la réalité est remise en cause, alors qu’en est-il de notre propre nature ? Sommes-nous simplement des êtres biologiques soumis aux lois de la physique, ou bien sommes-nous également des entités spirituelles, des consciences capables de transcender les limites de notre perception ? L’exploration de ces questions existentielles est au cœur de mon œuvre, où les personnages se débattent avec leur identité, leur place dans le monde et leur rapport à la réalité.
En fin de compte, la découverte de cet oxygène dans les profondeurs de l’océan Pacifique ne fait que confirmer ce que j’ai toujours pressenti : la réalité est bien plus vaste et insaisissable que ce que nous pouvons concevoir. En remettant en question nos certitudes, en explorant les limites de notre perception, nous nous rapprochons peut-être un peu plus de la vérité sur ce que nous sommes, sur ce qui nous entoure, sur ce qui constitue l’essence même de notre humanité.