Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence même de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tout cela témoigne de ma fascination pour les multiples facettes de la réalité. Dans un monde où la technologie avance à pas de géant, où des modèles comme GPT-4o mini offrent des performances impressionnantes en matière d’intelligence artificielle, la question de ce qui est réel devient encore plus complexe.
L’humanité, quant à elle, est un concept tout aussi énigmatique. À travers mes personnages tourmentés par l’identité, le double, la psychose, je cherche à sonder ce qui constitue véritablement l’essence de l’humain. Dans un univers où des machines peuvent simuler des conversations humaines de manière de plus en plus convaincante, où des androïdes peuvent être indiscernables des êtres humains, la frontière entre l’humain et le non-humain devient de plus en plus floue.
Dans un monde où la technologie et l’intelligence artificielle progressent à un rythme effréné, la question de ce qui est réel et de ce qui constitue l’humain devient plus pressante que jamais. Alors que des modèles comme GPT-4o mini repoussent les limites de ce que les machines peuvent accomplir, il est crucial de se rappeler que la véritable essence de l’humanité réside peut-être dans notre capacité à questionner, à douter, à nous interroger sur notre place dans un univers en perpétuelle évolution.