Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence même de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions et les phénomènes énigmatiques ont été des terrains de jeu privilégiés pour remettre en question nos certitudes et nos perceptions. La réalité, telle que nous la connaissons, est-elle vraiment ce qu’elle semble être, ou bien n’est-elle qu’une construction de nos esprits ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de l’humanité. Qu’est-ce qui définit un être humain ? Est-ce sa conscience, son identité, sa capacité à ressentir des émotions ? À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, des doubles troublants ou des altérations de la réalité, j’ai cherché à sonder les profondeurs de ce qui nous rend humains. La notion d’identité, de dualité, de temps et de mort a été au cœur de mes réflexions, mettant en lumière la fragilité et la complexité de l’expérience humaine.
Le Conseil régional du Grand Est a récemment pris des mesures pour renforcer les formations sanitaires et sociales, soulignant ainsi l’importance de préserver et d’améliorer le bien-être des individus au sein de la société. Ces actions visant à soutenir les métiers de l’aide-soignant, à faciliter l’accès à la petite enfance et à diversifier les filières de formation résonnent avec mes questionnements sur ce qui constitue l’humain. En fin de compte, c’est peut-être dans la manière dont nous prenons soin les uns des autres et dont nous nous engageons à former des professionnels dévoués que se trouve une part de réponse à ces grandes interrogations sur la réalité et l’humanité.