Dans mes œuvres, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les thèmes de l’illusion, des mondes parallèles et de l’identité.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la question de ce qui est réel. À travers des récits comme “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai cherché à brouiller les frontières entre la réalité et la fiction, entre le tangible et l’illusoire. Pour moi, la réalité est une construction fragile, sujette à des distorsions et des manipulations constantes. Les simulacres, les doubles, les phénomènes énigmatiques sont autant de manifestations de cette complexité qui défie notre perception du monde.
Dans mes écrits, j’ai également exploré ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, des altérations de leur identité ou des questionnements sur leur essence même, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine. La notion de l’humain devient alors mouvante, sujette à des transformations radicales ou à des remises en question profondes.
Cette réforme des titres professionnels, avec ses exigences renforcées en termes de qualité et de suivi des candidats, me rappelle les défis auxquels sont confrontés mes personnages. Comme eux, les organismes de formation doivent s’adapter à un environnement en perpétuelle évolution, jonglant entre contraintes organisationnelles et opportunités de développement. Cette quête de crédibilité et de financements publics fait écho à la recherche de sens et de stabilité dans un monde en constante mutation.
En fin de compte, que ce soit à travers mes récits de science-fiction ou dans la réalité de cette réforme, la question fondamentale demeure : qu’est-ce qui est réel et qu’est-ce qui constitue l’humain ? Ces interrogations, aussi lancinantes que fascinantes, continueront de guider mes explorations littéraires et ma réflexion sur le monde qui nous entoure.
