Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions et les phénomènes énigmatiques sont autant de thèmes qui ont nourri ma réflexion sur la nature de notre existence.
Dans mes écrits, je me suis souvent interrogé sur ce qui constitue réellement l’humain. Est-ce notre apparence physique, nos émotions, nos pensées ou notre conscience ? À travers des personnages confrontés à des situations extraordinaires, j’ai cherché à mettre en lumière les différentes facettes de l’humanité et à questionner ce qui nous définit en tant qu’êtres pensants et conscients.
Lorsque l’on aborde la question de l’internationalisation des formations, il est primordial de se pencher sur la diversité linguistique et culturelle. Dispenser des cours en anglais peut certes faciliter la communication à l’échelle mondiale, mais il ne faut pas négliger l’importance du plurilinguisme et de l’adaptation aux spécificités locales. Une réelle internationalisation passe par la prise en compte des différentes langues et cultures, permettant ainsi une véritable ouverture d’esprit et un enrichissement mutuel.
En fin de compte, que ce soit à travers mes récits de science-fiction ou dans le cadre de réflexions sur l’internationalisation des formations, la quête de la réalité et la définition de l’humanité demeurent des questions essentielles. C’est en explorant ces thèmes complexes et en embrassant la diversité sous toutes ses formes que nous pourrons véritablement repousser les limites de notre compréhension du monde qui nous entoure.