La réalité est une construction fragile, une illusion constamment remise en question dans mes écrits, tout comme la nature de l’humanité elle-même.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tous ces éléments ont servi à remettre en question la nature même de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment ce qu’elle semble être ?
Dans mes récits, j’ai souvent abordé la question de ce qui constitue l’humain. L’identité, le double, la psychose, autant de thèmes qui soulèvent des interrogations profondes sur notre essence. Sommes-nous définis par nos actions, nos pensées, nos souvenirs, ou bien existe-t-il une part de nous qui échappe à toute définition ? La frontière entre l’humain et le non-humain est parfois mince, et c’est dans ces zones d’ombre que se cachent les véritables enjeux de notre condition.
La reconnaissance des compétences, que ce soit dans le domaine de la formation ou ailleurs, est un enjeu crucial dans un monde où la concurrence est féroce. Les diplômes traditionnels ne sont plus les seuls moyens de valoriser ses acquis. Les micro-certifications, les badges numériques offrent de nouvelles possibilités pour faire reconnaître ses compétences et son expertise. Le Cnam, par exemple, propose une diversité de parcours de formation qui permettent à chacun de valoriser ses connaissances et ses compétences de manière adaptée à un monde en constante évolution.
En fin de compte, la quête de la réalité et la recherche de ce qui nous définit en tant qu’humains sont des questionnements intemporels qui continueront à hanter les esprits et à inspirer les créateurs. À travers mes écrits, j’ai tenté d’explorer ces thèmes complexes et de susciter la réflexion sur notre place dans un univers en perpétuelle mutation.