Dans mes œuvres, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les thèmes de l’illusion, des mondes parallèles et de l’identité.
En tant qu’écrivain, je me suis toujours senti attiré par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les vacillements de la réalité, les phénomènes énigmatiques ont été au cœur de mes réflexions. À travers des œuvres telles que “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes et à plonger mes lecteurs dans des univers où la perception de la réalité est constamment remise en cause.
L’une des grandes questions qui a animé mon travail est celle de savoir ce qui est réel. Les concepts d’illusion, de monde parallèle et d’aliénation sociale ont été des fils conducteurs explorés dans mes écrits. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment ce qu’elle semble être, ou bien n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Un autre thème récurrent dans mes œuvres est celui de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des doubles, des identités multiples ou des altérations de la réalité, j’ai cherché à interroger la nature profonde de l’humanité. La question de l’identité, du temps, de la psychose et de la mort a été au cœur de mes réflexions, me poussant à explorer les limites de ce qui définit un être humain.
Les cinq accords toltèques, avec leur invitation à la sincérité, à la bienveillance envers soi-même et aux interactions respectueuses avec autrui, résonnent avec mes questionnements sur la réalité et l’humanité. En cultivant l’intégrité, en évitant les suppositions et en faisant toujours de notre mieux, nous nous rapprochons peut-être un peu plus de la vérité de ce que nous sommes et de ce qui nous entoure.
En fin de compte, à travers mes écrits, j’ai cherché à ouvrir des portes vers des mondes où la réalité se dérobe, où l’identité se fragmente, mais où l’humanité, dans toute sa complexité, continue de briller.