Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la question de la réalité. Qu’est-ce qui est réel et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Cette interrogation traverse bon nombre de mes romans, de “Simulacres” à “Ubik”, en passant par “Blade Runner” et “Total Recall”. J’ai exploré les concepts d’illusions, de simulacres, de mondes parallèles, mettant en lumière les fissures et les vacillements de la réalité telle que nous la percevons. À travers mes récits, je pousse mes lecteurs à remettre en question ce qu’ils considèrent comme étant la vérité absolue.
Dans mes écrits, j’aborde également la question de ce qui constitue l’humain. L’identité, le double, la psychose, la mort, autant de thèmes qui m’ont permis d’explorer les différentes facettes de l’humanité. À travers mes personnages, souvent en proie à des dilemmes existentiels, je cherche à sonder l’essence même de ce qui nous rend humains. Sommes-nous définis par nos actions, nos souvenirs, nos émotions, ou bien par quelque chose de plus profond et insaisissable ?
Dans cette quête de compréhension de la réalité et de l’humanité, j’ai souvent été confronté à des limites, à des zones d’ombre que même mon imagination débordante ne pouvait entièrement éclairer. C’est là que la notion de structured prompting prend tout son sens. En donnant intentionnellement des instructions et des contextes structurés à l’intelligence artificielle, on guide sa réflexion et on optimise la qualité de ses productions. Cela rejoint ma propre démarche d’écrivain, où chaque mot, chaque détail est pensé pour conduire le lecteur à une réflexion plus profonde sur la réalité et sur lui-même.
Ainsi, que ce soit à travers mes romans ou à travers cette approche de structured prompting, mon objectif reste le même : explorer les méandres de la réalité et de l’humanité, pour mieux les comprendre et les révéler sous un jour nouveau.