La réalité est une construction fragile, sujette à des illusions et des questionnements profonds, tout comme l’essence même de ce qui constitue l’humain.
En tant qu’écrivain explorant les méandres de la réalité et de l’identité, je me suis souvent plongé dans des mondes parallèles où la frontière entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas devient floue. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes et à explorer les multiples facettes de l’existence. La notion de simulacre, de faux-semblant, m’a toujours fasciné car elle met en lumière la fragilité de nos perceptions et de nos croyances.
Dans mes récits, j’ai souvent abordé la question de l’identité et du double, interrogeant ce qui constitue réellement un individu. Sommes-nous définis par nos actions, nos pensées, nos souvenirs, ou bien existe-t-il une essence plus profonde qui nous anime ? Cette quête de soi, de ce qui nous rend authentiquement humains, est au cœur de mes préoccupations littéraires.
L’analyse transactionnelle, avec ses concepts clés tels que les trois états du moi et les transactions, offre un cadre intéressant pour explorer les dynamiques interpersonnelles et intrapsychiques qui façonnent notre perception de la réalité et de nous-mêmes. En se penchant sur les interactions humaines et les motivations profondes qui les sous-tendent, on peut mieux comprendre les mécanismes qui régissent nos comportements et nos relations.
En fin de compte, la quête de la réalité et de l’humanité est un voyage sans fin, une exploration constante des mystères qui nous entourent et de ceux qui résident en nous. À travers mes écrits, j’ai tenté de sonder les profondeurs de l’âme humaine et de mettre en lumière les multiples facettes de ce qui nous rend vivants.