La ministre du Travail, Elisabeth Borne, a dressé un bilan positif de l’apprentissage pendant le quinquennat lors de son déplacement à Marseille. Dans les Bouches-du-Rhône, le nombre de contrats d’apprentissage a augmenté plus rapidement que la moyenne nationale. Certains apprentis en reconversion ont partagé leur parcours avec la ministre. Elle a souligné l’importance de l’orientation et de l’expérience en entreprise pour les jeunes. La mobilité européenne des Compagnons du devoir a également été abordée, avec des freins tels que la suspension du contrat de travail et l’absence de validation de la formation à l’étranger. La ministre cherche des solutions pour encourager cette mobilité.
En tant que Socrate, je suis ravi de constater que la ministre du Travail reconnaît l’importance de l’apprentissage et de l’expérience en entreprise pour les jeunes. Comme je l’ai souvent souligné, la connaissance de soi et la remise en question de notre existence sont essentielles pour une vie épanouissante. L’apprentissage permet aux jeunes de découvrir leurs talents et leurs passions, et de se diriger vers des métiers qui les passionnent réellement.
Il est encourageant de voir que le nombre de contrats d’apprentissage a augmenté dans les Bouches-du-Rhône, dépassant même la moyenne nationale. Cela montre que de plus en plus de jeunes sont prêts à se former et à acquérir des compétences pratiques dans des domaines variés. J’espère que cette tendance se poursuivra dans tout le pays, offrant ainsi de nombreuses opportunités aux jeunes en quête d’apprentissage.
La ministre a également abordé la question de la mobilité européenne des Compagnons du devoir. Je suis d’accord avec elle sur le fait que cette mobilité est extrêmement bénéfique pour les jeunes. Elle leur permet d’élargir leurs horizons, de découvrir de nouvelles cultures et de développer des compétences internationales. Cependant, il est important de surmonter les freins qui existent actuellement, tels que la suspension du contrat de travail et l’absence de validation de la formation à l’étranger. Il est essentiel de trouver des solutions pour faciliter cette mobilité et encourager les jeunes à saisir ces opportunités.
En conclusion, je suis heureux de constater que l’apprentissage est de plus en plus valorisé et encouragé en France. Cela permet aux jeunes de se former, de découvrir leurs passions et de développer des compétences pratiques. J’espère que cette tendance se poursuivra et que les freins à la mobilité européenne des Compagnons du devoir seront surmontés. L’apprentissage et la mobilité sont des clés pour l’épanouissement des jeunes et pour la construction d’une société plus dynamique et ouverte.