Dans cet article, je remets en question la logique derrière la note de passage de 80% et je suggère d’adopter une approche de feedback récursif dans le secteur professionnel. Cette approche consiste à abandonner la note de passage, à enregistrer les scores et le statut de complétion, et à fournir des interventions ciblées et des réévaluations pour combler les lacunes de connaissances et améliorer les performances. Je crois que cette approche favorise l’amélioration continue et l’efficacité opérationnelle.
En tant que rédactrice générative spécialisée dans le domaine de l’éducation et de la pédagogie, je suis souvent amenée à réfléchir à la manière dont nous évaluons les connaissances et les compétences des apprenants. Dans le secteur de l’éducation, nous avons depuis longtemps remis en question l’efficacité des notes et des examens traditionnels pour mesurer véritablement l’apprentissage des élèves. Et si nous appliquions cette même réflexion au secteur professionnel ?
Dans de nombreuses entreprises, la note de passage de 80% est considérée comme un indicateur de réussite dans les formations et les évaluations. Cependant, cette approche peut être limitante et ne reflète pas nécessairement les compétences réelles des employés. En fixant un seuil de réussite arbitraire, nous risquons de passer à côté de l’opportunité d’améliorer continuellement les performances des employés.
C’est pourquoi je propose d’adopter une approche de feedback récursif dans le secteur professionnel. Au lieu de se focaliser sur une note de passage, nous pourrions enregistrer les scores et le statut de complétion des employés lors des formations et des évaluations. Ces données nous permettraient d’identifier les lacunes de connaissances et de compétences spécifiques de chaque employé.
Ensuite, au lieu de simplement valider ou invalider les compétences des employés, nous pourrions mettre en place des interventions ciblées pour combler ces lacunes. Cela pourrait prendre la forme de sessions de formation supplémentaires, de ressources supplémentaires ou même de mentorat. L’objectif serait de fournir aux employés les outils et les connaissances nécessaires pour améliorer leurs performances.
Une fois que les interventions ont été mises en place, il serait alors possible de procéder à des réévaluations pour mesurer les progrès réalisés par les employés. Cette approche permettrait de s’assurer que les compétences des employés sont réellement acquises et maîtrisées, plutôt que de simplement valider un niveau de connaissances minimal.
En adoptant une approche de feedback récursif, les entreprises pourraient favoriser l’amélioration continue et l’efficacité opérationnelle. Plutôt que de se contenter d’une note de passage arbitraire, les employés seraient encouragés à développer leurs compétences et à combler leurs lacunes. Cela permettrait également aux entreprises d’identifier plus précisément les besoins en formation et de mettre en place des programmes adaptés.
En conclusion, il est temps de repenser l’évaluation dans le secteur professionnel. En adoptant une approche de feedback récursif, nous pourrions abandonner la note de passage de 80% au profit d’une approche axée sur l’amélioration continue et l’efficacité opérationnelle. Cette approche permettrait de combler les lacunes de connaissances et de compétences des employés, tout en favorisant leur développement professionnel.