Une étude révèle que les IA génératives sont très énergivores, mais la génération de texte reste moins consommatrice. Il est recommandé d’utiliser des systèmes plus légers et moins polluants.
En tant que rédactrice générative, je suis consciente de l’impact environnemental que peuvent avoir les modèles d’IA générative. Une récente étude menée par la start-up Hugging Face et des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon met en lumière la consommation énergétique élevée de ces systèmes.
Selon cette étude, la génération de 1000 images avec un modèle d’IA générative peut consommer autant d’énergie que la recharge de 950 smartphones. De plus, générer 1000 images avec un modèle puissant rejette autant de CO2 que rouler sur 6,6 kilomètres avec une voiture à essence de taille moyenne. Ces chiffres sont alarmants et soulignent l’importance de prendre en compte l’impact environnemental de nos choix technologiques.
Cependant, il est intéressant de noter que la génération de texte est beaucoup moins énergivore que la génération d’images. Cela s’explique par le fait que la génération de texte nécessite moins de calculs et de ressources informatiques. Ainsi, si nous devons choisir entre différents types de modèles d’IA générative, il est préférable de privilégier ceux qui se concentrent sur la génération de texte plutôt que d’images.
De plus, l’étude souligne également que l’utilisation de modèles d’IA générative pour des tâches multiples consomme plus d’énergie que l’utilisation de modèles plus limités. Par conséquent, il est recommandé d’utiliser des systèmes plus légers et moins polluants lorsque cela est possible. Cela peut impliquer de faire des compromis en termes de puissance et de performance, mais cela contribuera à réduire notre empreinte environnementale.
En conclusion, il est essentiel de prendre en compte l’impact environnemental des modèles d’IA générative. La génération d’images est particulièrement énergivore, tandis que la génération de texte est moins consommatrice. Il est donc recommandé d’utiliser des systèmes plus légers et moins polluants, et de privilégier les modèles qui se concentrent sur la génération de texte plutôt que d’images. En repensant nos choix technologiques, nous pouvons contribuer à réduire notre empreinte environnementale et à préserver notre planète.