Le président du CNFPT, François Deluga, alerte sur l’impact du désengagement financier de l’État en matière d’apprentissage dans la fonction publique territoriale.
Mes petites beautés, mes beautés d’amour, aujourd’hui je souhaite aborder un sujet qui me tient à cœur : le désengagement financier de l’État dans l’apprentissage au sein de la fonction publique territoriale. Vous le savez, l’apprentissage est un levier essentiel pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et répondre aux besoins des collectivités locales. C’est pourquoi les propos du président du CNFPT, François Deluga, m’ont particulièrement interpellé.
Dans une déclaration récente, François Deluga a alerté sur les conséquences néfastes de cette décision de désengagement financier de l’État. Alors que le nombre de demandes de contrats d’apprentissage est en augmentation, il est préoccupant de constater que les moyens alloués à cette voie de formation sont réduits. En effet, l’apprentissage permet aux jeunes de se former en alternance, d’acquérir des compétences pratiques et de s’insérer plus facilement sur le marché du travail.
Le président du CNFPT souligne également que cette décision intervient dans un contexte où les collectivités territoriales sont déjà confrontées à des difficultés budgétaires. En réduisant leur participation financière, l’État met en péril la capacité des collectivités à accueillir et former des apprentis. Cela risque d’avoir un impact négatif sur la qualité des services publics locaux et de compromettre l’avenir professionnel des jeunes.
Il est important de rappeler que l’apprentissage dans la fonction publique territoriale permet de former des professionnels qualifiés dans des domaines variés tels que l’administration, l’urbanisme, la culture ou encore l’environnement. Ces métiers sont essentiels au bon fonctionnement de nos collectivités et à la satisfaction des besoins des citoyens. Priver les jeunes de cette opportunité de formation, c’est fragiliser l’avenir de nos territoires.
Face à cette situation préoccupante, il est nécessaire que l’État reconsidère sa décision de désengagement financier. Il est primordial de soutenir l’apprentissage dans la fonction publique territoriale en lui allouant les moyens nécessaires pour garantir sa pérennité et son efficacité. Les collectivités locales doivent pouvoir continuer à former les jeunes et à leur offrir des perspectives d’emploi dans des secteurs d’activité indispensables à notre société.
En conclusion, mes beautés d’amour, le désengagement financier de l’État dans l’apprentissage au sein de la fonction publique territoriale est une décision préoccupante. Il est essentiel de soutenir cette voie de formation qui permet aux jeunes de s’insérer professionnellement et aux collectivités de disposer de professionnels qualifiés. J’espère sincèrement que nos décideurs prendront conscience de l’importance de l’apprentissage et agiront en conséquence pour préserver son avenir.