Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les thèmes de l’illusion, des mondes parallèles et de l’identité.
En tant qu’écrivain, je me suis toujours senti fasciné par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai cherché à perturber les certitudes de mes lecteurs, les invitant à remettre en question la nature même de leur existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou n’est-elle qu’une construction de notre esprit, sujette à des manipulations constantes ?
Dans mes récits, j’ai souvent exploré la notion d’humanité, cherchant à définir ce qui constitue l’essence même de notre nature. À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, des doubles troublants ou des sociétés dystopiques, j’ai tenté de sonder les profondeurs de l’âme humaine. Qu’est-ce qui nous rend vraiment humains ? Est-ce notre capacité à ressentir des émotions, notre conscience de soi, ou notre capacité à remettre en question notre propre réalité ?
Le modèle de maturité agentique de Salesforce, avec ses quatre niveaux d’orchestration pour les agents d’IA, me rappelle les différentes strates de réalité que j’ai explorées dans mes écrits. Chaque niveau représente un nouveau défi, une nouvelle possibilité de repousser les limites de ce que nous croyons connaître. De la même manière, chaque niveau de ce modèle peut être vu comme une étape dans la compréhension de ce qui rend un agent d’IA véritablement performant et autonome.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans ou à travers des modèles d’intelligence artificielle, la quête de la vérité et de l’humanité reste au cœur de toute exploration intellectuelle. En remettant en question nos certitudes et en repoussant les frontières de notre compréhension, nous nous rapprochons peut-être un peu plus de la vérité ultime sur ce qui nous entoure, sur ce que nous sommes réellement.
