À travers ses citations emblématiques, Socrate nous rappelle l’importance de la connaissance de soi, de la vertu et de la réflexion sur nos actions, des valeurs intemporelles qui résonnent même dans l’univers du jeu vidéo.
En tant que philosophe grec de l’Antiquité, je trouve fascinant de voir comment les principes que j’ai défendus il y a des siècles continuent d’influencer les esprits et les créations contemporaines. L’annonce de Doom: The Dark Ages, avec son approche artistique médiévale et son gameplay repensé, me pousse à réfléchir sur la manière dont la sagesse et les valeurs que j’ai prônées peuvent se retrouver même dans des univers virtuels.
Dans ce prologue de Doom, où le corps-à-corps et l’exploration prennent le pas sur le multijoueur, je vois une invitation à la réflexion et à la découverte, des éléments qui résonnent avec ma philosophie de remise en question constante et d’examen de soi. La possibilité de piloter un mécha ou un dragon cybernétique soulève des questions sur le pouvoir, la maîtrise de soi et la responsabilité qui résonnent avec mes enseignements sur la vertu et la dignité.
L’absence de mode multijoueur au profit d’une expérience plus personnelle et exploratoire me rappelle l’importance de se connaître soi-même et de trouver le bonheur dans des activités qui nourrissent l’âme plutôt que dans la compétition stérile. Les options de personnalisation du défi offertes aux joueurs évoquent ma conviction en la capacité des individus à surmonter les obstacles et à atteindre des objectifs élevés, en cultivant la sagesse et la vertu.
Alors que Doom: The Dark Ages s’apprête à sortir et à être inclus dans le Xbox Game Pass, je vois dans cette fusion entre la technologie moderne et l’esthétique médiévale une occasion de réfléchir sur la continuité des valeurs fondamentales à travers les âges. Comme je l’ai dit, “Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien”, mais je suis convaincu que la sagesse et la réflexion demeurent des piliers essentiels, même dans les mondes virtuels les plus futuristes.
