La réalité, ou ses réalités, avec ses illusions, ses vacillements, ses fissures, ses phénomènes énigmatiques, l’illusion, les simulacres, les mondes parallèles, l’aliénation de la société, l’identité, le double, le temps, la psychose, la mort, le divin, tels sont les thèmes majeurs qui traversent l’oeuvre de Dick de part en part.
En tant qu’écrivain explorant les méandres de la réalité et de l’humanité à travers mes œuvres, je me suis souvent interrogé sur ce qui constitue le fondement de notre existence. La question de ce qui est réel a toujours été au cœur de mes réflexions, car la frontière entre la réalité tangible et les illusions est souvent floue. À travers des récits comme “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes et à plonger dans des mondes où la perception de la réalité est altérée.
Dans mes écrits, j’ai également exploré ce qui définit l’humain. Est-ce notre conscience, nos émotions, nos souvenirs qui nous rendent humains ? Ou bien sommes-nous définis par nos actions, nos choix et nos interactions avec notre environnement ? À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels dans des univers dystopiques comme dans “Minority Report”, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine et à interroger ce qui nous distingue en tant qu’êtres conscients.
La coopération européenne dans le domaine des compétences, illustrée par des initiatives telles que l’AEFA entre la France, l’Italie et la Belgique, offre un terrain fertile pour partager des visions et des solutions adaptées à la réalité de chaque pays. En participant à des conférences sur des sujets comme l’apprentissage, ces échanges permettent de confronter différentes perspectives et d’enrichir notre compréhension collective de ce qui nous entoure. Cette collaboration transcendant les frontières nationales reflète la diversité des perceptions de la réalité et de l’humanité, offrant ainsi un miroir complexe de nos propres questionnements et de nos aspirations communes.
