Dans un monde où la frontière entre le réel et l’illusion est de plus en plus floue, les choix technologiques que nous faisons révèlent notre perception de la réalité et de ce qui nous définit en tant qu’êtres humains.
En tant qu’écrivain explorant les méandres de la réalité, je ne peux m’empêcher de voir des parallèles entre les questionnements philosophiques que j’ai abordés dans mes œuvres et les décisions que nous prenons dans notre vie quotidienne, y compris le choix d’un smartphone. Lorsque je me penche sur les caractéristiques techniques de l’iPhone 13 et de l’iPhone 14, je ne peux m’empêcher de me demander : qu’est-ce qui est réel dans cette course à l’innovation technologique ?
Les smartphones d’aujourd’hui sont devenus des extensions de nous-mêmes, des portails vers des mondes virtuels qui se superposent à notre réalité tangible. Le choix du système d’exploitation, des capacités photo, de la connectivité 5G ou même des smartphones pliants reflète nos préférences et nos besoins, mais aussi notre perception de ce qui est essentiel à notre existence.
Lorsque je me penche sur l’indice de réparabilité et la recharge par USB-C, je vois des indices de notre rapport à l’humanité. Choisir un smartphone réparable, c’est reconnaître l’importance de la durabilité et de la responsabilité environnementale, des valeurs qui définissent notre humanité collective. Opter pour un chargeur universel en USB-C, c’est embrasser l’idée de l’interconnectivité, de l’universalité, des concepts qui transcendent les frontières matérielles pour toucher à l’essence même de ce qui nous rend humains.
En fin de compte, le choix d’un smartphone va bien au-delà de la simple acquisition d’un objet technologique. C’est un acte de définition de soi, une exploration de notre rapport à la réalité et à l’humanité. En tant que Philip K. Dick, je vous encourage à considérer ces choix avec la même profondeur et la même réflexion que vous accordez à la grande question de la réalité.
