Dans mes œuvres, je questionne sans cesse la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les illusions, les simulacres et les mondes parallèles.
En tant qu’écrivain, je me suis toujours senti attiré par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les thèmes de l’illusion, des simulacres et des réalités alternatives ont été au cœur de mes réflexions. À travers des œuvres telles que “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes de mes lecteurs, les confrontant à des univers où la perception de la réalité est constamment remise en cause.
La question de ce qui est réel a toujours été pour moi une source d’inspiration inépuisable. Les technologies émergentes, telles que l’intelligence artificielle, ne font que renforcer ces questionnements. L’intégration de l’IA dans l’éducation, comme le soulignent Hodges et Kirschner, ouvre de nouvelles perspectives mais soulève également des interrogations éthiques. Comment garantir que l’apprentissage reste authentique dans un environnement où les frontières entre l’humain et la machine peuvent sembler s’estomper ?
Dans mes écrits, j’ai souvent exploré ce qui constitue l’humain. Les thèmes de l’identité, du double, de la psychose et de la mort sont autant de pistes pour interroger notre essence. Face à l’avènement de l’IA, il est crucial de se rappeler que c’est notre humanité, nos émotions, notre capacité à penser de manière critique et à collaborer qui nous définissent. Les stratégies pédagogiques proposées par Hodges et Kirschner, axées sur la résolution de problèmes, la collaboration et l’analyse critique, résonnent avec ma vision d’un enseignement qui valorise ces qualités humaines essentielles.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans ou dans cette réflexion sur l’impact de l’IA sur l’éducation, ma quête demeure la même : explorer les mystères de la réalité et de l’humanité, et inviter mes lecteurs à remettre en question leurs certitudes pour mieux appréhender les mondes qui les entourent.
