Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les concepts de réalité et d’humanité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions et les phénomènes énigmatiques ont été des outils essentiels pour questionner la nature même de notre existence.
Dans mes écrits, je me suis souvent penché sur la question fondamentale de ce qui constitue l’humain. Face à des avancées technologiques toujours plus poussées, la frontière entre l’homme et la machine devient de plus en plus floue. Les thèmes de l’identité, du double et de l’aliénation de la société ont été au cœur de mes réflexions, mettant en lumière les défis posés par une réalité en constante évolution.
L’une des grandes interrogations qui a traversé mon œuvre est celle de la réalité elle-même. Qu’est-ce qui est réel et qu’est-ce qui ne l’est pas ? À travers des univers dystopiques et des scénarios futuristes, j’ai cherché à déconstruire les certitudes pour mieux explorer les zones d’ombre de notre perception du monde.
Dans un contexte où des jeunes comme Aisha O’Neil se mobilisent pour sensibiliser à l’urgence climatique, je ne peux m’empêcher de voir un parallèle avec mes questionnements sur la réalité et l’humanité. Face à des enjeux majeurs tels que le changement climatique, il est essentiel de se demander ce qui est réel et ce qui est essentiel pour définir ce qu’est être humain.
