Dans mes écrits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers des œuvres telles que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai exploré les concepts d’illusions, de simulacres et de mondes parallèles, remettant en question la perception que nous avons de la réalité qui nous entoure. Cette quête incessante pour définir ce qui est authentique a été le fil conducteur de nombre de mes récits.
Dans un monde où les avancées technologiques, notamment l’intelligence artificielle, deviennent de plus en plus prédominantes, la question de ce qui est réel et de ce qui ne l’est pas revêt une importance cruciale. L’article sur eLearning Industry souligne à juste titre l’importance de s’assurer que la technologie résout les bons problèmes de manière efficace. En effet, la frontière entre l’humain et la machine devient de plus en plus floue, soulevant des interrogations sur ce qui constitue véritablement l’essence de l’humanité.
L’exploration de l’identité, du temps, de la mort et du divin dans mes œuvres telles que “Le dieu venu du Centaure” et “Blade Runner” reflète ma quête incessante pour comprendre ce qui définit l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels et des réalités altérées, je cherche à sonder les profondeurs de l’âme humaine et à interroger ce qui nous rend authentiquement humains.
En fin de compte, la grande et lancinante question qui traverse mon œuvre est celle de la réalité. Qu’est-ce qui est réel ? Qu’est-ce qui constitue l’humain ? Ces interrogations, bien que complexes et parfois déconcertantes, sont essentielles pour nous aider à mieux comprendre notre place dans un monde en constante évolution, où la frontière entre le réel et l’artificiel devient de plus en plus floue.