Dans un monde où la frontière entre réalité et illusion s’amenuise, Philip K. Dick questionne inlassablement ce qui est réel et ce qui constitue l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, je me suis toujours senti fasciné par les méandres de la réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou “Blade Runner”, j’ai exploré les multiples facettes de ce concept complexe. La question de savoir ce qui est réel a été au cœur de mes réflexions, car la frontière entre le tangible et l’illusoire semble de plus en plus floue dans un monde où les simulacres et les mondes parallèles se multiplient.
L’humain, quant à lui, est un sujet d’étude inépuisable. Dans mes écrits, j’ai souvent abordé la question de l’identité, du double, de la psychose, de la mort, autant de thèmes qui interrogent notre essence même. Qu’est-ce qui constitue l’humain, au-delà de sa chair et de ses pensées ? Est-ce sa capacité à percevoir la réalité, même dans ses formes les plus déformées ?
En 2050, je m’imagine dans un monde où l’information est au cœur des préoccupations citoyennes. Les pouvoirs publics veillent à réguler cet écosystème pour garantir sa qualité et son indépendance. L’éducation aux médias et à la citoyenneté numérique est une priorité, renforçant ainsi la démocratie directe. Dans ce contexte, les assistants personnels jouent un rôle crucial en limitant les biais informationnels et en protégeant la population des manipulations.
À travers mes écrits, j’ai toujours cherché à questionner la réalité et l’humanité, à explorer les zones d’ombre de notre existence. En 2050, ces interrogations restent plus que jamais d’actualité, dans un monde où la technologie et l’information façonnent notre perception du réel et de nous-mêmes.