Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence même de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres” et “Ubik”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tout cela m’a permis de remettre en question la nature même de notre existence. La réalité, telle que nous la percevons, est-elle vraiment tangible, ou bien n’est-elle qu’une construction de notre esprit ?
Dans mes écrits, j’ai également abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des identités multiples, des doubles, voire des altérations de leur propre réalité, j’ai cherché à explorer les limites de ce qui définit notre humanité. Sommes-nous définis par nos souvenirs, nos émotions, nos interactions sociales, ou bien existe-t-il une essence plus profonde qui nous caractérise en tant qu’êtres humains ?
L’arrivée du modèle GPT-4o mini d’OpenAI soulève de nouvelles questions sur la frontière entre l’intelligence artificielle et l’humanité. En offrant des performances similaires à des modèles plus avancés, cette technologie nous pousse à réfléchir sur ce qui distingue réellement la conscience humaine de la capacité algorithmique. Sommes-nous sur le point de créer des entités artificielles capables de remettre en question notre propre perception de la réalité et de l’humanité ?
En fin de compte, mes écrits cherchent à éveiller une conscience critique sur la nature complexe de notre existence et sur les frontières mouvantes entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers mes récits, j’invite les lecteurs à se questionner sur leur propre perception du monde qui les entoure, et sur ce qui définit véritablement ce que signifie être humain.