Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été fasciné par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai exploré les concepts d’illusions, de simulacres et de mondes parallèles. Ces thèmes récurrents dans mon travail reflètent ma propre fascination pour les réalités multiples et les phénomènes énigmatiques qui peuvent remettre en question nos perceptions les plus fondamentales.
L’identité et l’aliénation de la société sont des sujets qui reviennent souvent dans mes écrits. Dans “Blade Runner” ou “Total Recall”, je me suis penché sur la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des doubles, des altérations de mémoire ou des dilemmes moraux, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine et à interroger ce qui nous définit en tant qu’êtres conscients.
La notion de temps, la psychose, la mort et même le divin sont autant de thèmes que j’ai abordés pour explorer les limites de la réalité et de l’humanité. Pour moi, la grande question demeure : qu’est-ce qui est réel ? Et, de manière plus profonde encore, qu’est-ce qui constitue l’essence même de l’humain ? À travers mes écrits, j’ai tenté de repousser les frontières de la perception et d’inviter les lecteurs à remettre en question leurs propres certitudes sur la nature de la réalité et de l’identité.
Le programme “1 scientifique – 1 classe, Chiche !” s’inscrit dans cette démarche de questionnement et d’exploration. En encourageant les jeunes à s’intéresser aux sciences du numérique, il les invite à explorer de nouveaux horizons, à repousser les limites de leur compréhension du monde qui les entoure. Comme écrivain, je ne peux que saluer cette initiative qui encourage la curiosité, la remise en question et la découverte, des valeurs essentielles pour toute exploration de la réalité et de l’humanité.