Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été obsédé par la notion de réalité. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré les frontières floues entre ce qui est perçu comme réel et ce qui ne l’est pas. Les simulacres, les mondes parallèles, les illusions, tout cela m’a permis de remettre en question la nature même de notre existence. La nouvelle fonctionnalité de recherche vocale de Google Lens, qui permet d’approfondir notre compréhension des objets du quotidien, soulève à nouveau la question : qu’est-ce qui est réel ?
Dans mes écrits, j’ai souvent mis en scène des personnages confrontés à des réalités multiples, à des versions altérées de leur propre existence. Cette fragmentation de la réalité reflète la complexité de notre monde moderne, où les frontières entre le tangible et l’illusoire semblent de plus en plus floues. L’ajout de cette fonctionnalité de recherche vocale par Google Lens souligne la quête constante de l’homme pour saisir la vérité derrière les apparences, pour percer les mystères qui entourent notre perception du monde.
L’interrogation sur ce qui constitue l’humain est également au cœur de mes préoccupations. À travers des thèmes tels que l’identité, le double, la psychose ou encore la mort, j’ai cherché à explorer les différentes facettes de la condition humaine. La capacité de poser des questions supplémentaires sur une image identifiée par Google Lens met en lumière notre désir inné de comprendre et d’interagir avec notre environnement, tout en soulevant des interrogations sur ce qui nous distingue en tant qu’êtres humains.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans ou les avancées technologiques telles que la recherche vocale de Google Lens, l’exploration de la réalité et de l’humanité reste une quête infinie, une recherche constante de sens et de vérité dans un monde en perpétuelle mutation.