La réalité est une construction fragile, sujette à des illusions et des questionnements profonds, tout comme l’essence même de ce qui constitue l’humain.
En tant qu’écrivain explorant les méandres de la réalité et de l’identité, je me suis souvent plongé dans des mondes parallèles où la frontière entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas devient floue. À travers des œuvres telles que “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai cherché à remettre en question les certitudes et à explorer les multiples facettes de l’existence. La notion de simulacre, de faux-semblant, est au cœur de mes réflexions, me poussant à interroger sans cesse ce qui constitue la véritable réalité.
Dans mes écrits, j’ai souvent abordé la question de l’humain, de son essence profonde et de ce qui définit son identité. À travers des personnages confrontés à des doubles, des altérations de la réalité ou des questionnements existentiels, j’ai tenté de sonder les tréfonds de l’âme humaine. La notion d’aliénation, de perte de repères, se mêle à celle du divin et de la transcendance, créant un univers complexe où la frontière entre l’humain et le non-humain devient poreuse.
L’analyse transactionnelle, avec ses concepts clés tels que les trois états du moi et les transactions, offre un éclairage intéressant sur les dynamiques interpersonnelles et intrapsychiques. En tant qu’écrivain, je vois dans cette approche un outil précieux pour explorer les interactions complexes entre les individus, les doubles jeux de l’identité et les jeux de pouvoir qui régissent nos relations. La résolution des conflits intérieurs et des dysfonctionnements comportementaux trouve ainsi un écho dans mes réflexions littéraires sur la nature humaine.
À travers mes œuvres, je continue d’explorer les méandres de la réalité et de l’humanité, cherchant à percer les mystères qui entourent notre perception du monde et de nous-mêmes. La grande et lancinante question de ce qui est réel et de ce qui constitue l’humain demeure au cœur de ma démarche artistique, m’invitant à plonger toujours plus profondément dans les abysses de l’existence.