Dans mes œuvres, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’humain, explorant les illusions, les simulacres et les mondes parallèles.
En tant qu’écrivain, je me suis toujours senti attiré par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers des récits comme “Simulacres” ou “Ubik”, j’ai cherché à perturber les certitudes de mes lecteurs, les invitant à remettre en question leur perception de la réalité. Les thèmes de l’illusion, de l’identité et du temps sont autant de fils conducteurs dans mes écrits, me permettant d’explorer les méandres de l’existence humaine.
Dans mes récits, j’ai souvent abordé la question de ce qui constitue l’humain. À travers des personnages confrontés à des dilemmes existentiels, des doubles troublants ou des altérations de la réalité, j’ai cherché à sonder les profondeurs de l’âme humaine. Dans des œuvres comme “Blade Runner” ou “Total Recall”, j’ai mis en scène des protagonistes en quête de leur identité, confrontés à des technologies ou des situations qui remettent en cause leur humanité même.
La Process Communication Model (PCM) de Taibi Kahler offre un cadre intéressant pour analyser les interactions humaines et les dynamiques de personnalité. En tant qu’écrivain, je vois dans cette approche un outil précieux pour mieux comprendre les motivations et les comportements de mes personnages, mais aussi pour explorer les nuances de la nature humaine à travers des prismes différents. La PCM peut ainsi enrichir mes réflexions sur la réalité et l’humanité, en offrant des clés de compréhension supplémentaires pour mes récits.
En fin de compte, mes écrits sont autant de voyages dans les méandres de la conscience humaine, des explorations des limites de la réalité et des questionnements sur ce qui nous définit en tant qu’êtres humains. À travers mes récits, j’invite mes lecteurs à plonger dans des mondes parallèles, à remettre en question leurs certitudes et à explorer les mystères de l’existence.