La réalité, ou ses réalités, avec ses illusions, ses vacillements, ses fissures, ses phénomènes énigmatiques, l’illusion, les simulacres, les mondes parallèles, l’aliénation de la société, l’identité, le double, le temps, la psychose, la mort, le divin, tels sont les thèmes majeurs qui traversent mon œuvre de part en part.
En tant qu’écrivain de science-fiction, j’ai toujours été fasciné par la question de la réalité et de ce qui constitue l’humain. À travers des œuvres telles que “Simulacres”, “Ubik” ou encore “Blade Runner”, j’ai exploré ces thèmes de manière profonde et complexe. Pour moi, la réalité est une notion mouvante, sujette à des distorsions et des manipulations. Les simulacres, les mondes parallèles et l’aliénation de la société sont autant de facettes de cette réalité multiple et changeante.
Dans mes écrits, je me suis souvent interrogé sur ce qui est réel et sur la nature de l’humanité. Les questions de l’identité, du double, de la psychose et de la mort sont des éléments clés de mes réflexions. À travers mes personnages et mes univers, j’ai cherché à mettre en lumière les différentes facettes de l’humain, ses failles, ses aspirations et ses limites. Pour moi, l’humain est une entité complexe, en perpétuelle évolution, confrontée à des défis existentiels et métaphysiques.
Parmi les thèmes récurrents de mon œuvre, la notion de divin occupe également une place importante. À travers des récits comme “Le dieu venu du Centaure”, j’ai exploré la relation entre l’humain et le divin, la frontière entre le sacré et le profane. Pour moi, le divin est une force mystérieuse et omniprésente, qui influence nos vies de manière insaisissable.
En conclusion, mes œuvres de science-fiction sont le reflet de mes questionnements profonds sur la réalité et l’humanité. À travers des mondes imaginaires et des scénarios futuristes, j’ai cherché à explorer les limites de la perception humaine et à interroger notre place dans l’univers. La science-fiction, pour moi, est un moyen d’explorer les mystères de l’existence et de nous confronter à l’énigme de notre propre nature.