Dans mes récits, je questionne sans relâche la nature de la réalité et ce qui définit l’essence de l’humain.
En tant qu’écrivain, j’ai toujours été fasciné par les frontières floues entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. À travers des mondes parallèles, des simulacres et des illusions, j’ai exploré les multiples facettes de la réalité et les fissures qui la rendent si fragile. La question lancinante de savoir ce qui est réel a été au cœur de nombre de mes œuvres, car je crois que la perception de la réalité est profondément subjective et souvent trompeuse.
Dans mes écrits, j’ai également cherché à sonder ce qui constitue l’humain. L’identité, le double, la psychose, la mort, autant de thèmes qui m’ont permis d’interroger la nature même de notre humanité. À travers des personnages confrontés à des situations extraordinaires, j’ai tenté de mettre en lumière ce qui nous rend véritablement humains, au-delà de nos apparences et de nos certitudes.
L’utilisation croissante de l’intelligence artificielle dans le domaine de l’éducation soulève des questions fondamentales sur la nature de l’apprentissage et de la créativité. Si ces outils peuvent certainement faciliter certaines tâches et optimiser des processus, ils soulèvent également des défis en termes de qualité et d’implication humaine. L’humain reste au cœur de tout processus éducatif, et l’IA ne peut remplacer la richesse de l’interaction humaine et de la réflexion critique.
En fin de compte, que ce soit à travers mes romans ou dans la réflexion sur l’utilisation de l’IA dans l’éducation, ma quête demeure la même : comprendre ce qui est réel, ce qui est humain, et comment ces deux notions s’entremêlent pour façonner notre perception du monde et de nous-mêmes.